Comme toujours… enfin, comme toujours, c’est vite dit: ce sera un poil plus long que d’habitude, vu qu’il y avait quand même plus de titres potentiellement intéressants que bien des fois. « Potentiellement » parce qu’il y a, évidemment, quelques déceptions à l’arrivée.
Mois : octobre 2019
Legend of the Galactic Heroes – Upheaval
Avant dernier tome de l’exemple le plus éloquent de l’expression space opera, pour ne pas dire la définition même du sous-genre. Bien entendu, gros spoilers.
Vrac de séries terminées (neuvième édition)
Je profite que Netflix mette à jour son catalogue pour récupérer mon retard (de deux ans, tout de même) sur les séries TV estampillées DC (notamment du Arrowverse, mais pas que). Ah, et il y a un peu d’animation, aussi.
Joker
Un mois qu’il n’y a pas eu de post ciné sur ce blog, ce qui s’explique principalement par le fait que j’ai la crève. Du coup, j’ai loupé Ad Astra (j’essaierai de rattraper ça plus tard), mais pas Joker.
Now and Then, Here and There – L’Autre monde a 20 ans
Si vous n’avez jamais entendu parler de ce titre, eh bien je suis un peu triste pour vous: vous êtes malheureusement passé à côté de l’un des meilleurs isekai toutes époques confondues. Au bas mot. Et certainement l’un des plus déprimants d’entre tous (avec Aura Battler Dunbine).
Vrac de trucs japonais terminés (quinzième édition)
La saison d’animation d’automne a commencé, mais je suis un peu à la bourre. Donc, petit retour sur des trucs diffusés ou publiés durant l’été.
Infinite Ryvius a 20 ans
Le 6 octobre 1999 était diffusé sur TV Tokyo le premier épisode d’Infinite Ryvius, une série qui est depuis quelque peu tombée dans l’oubli. Ce qu’il est temps de réparer, car c’est probablement le meilleur anime de Gorô Taniguchi (après Planetes, qui est une adaptation, donc…).
The Empire of Corpses
The Empire of Corpses de Project Itoh et Toh EnJoe traînait dans ma PAL depuis un bon moment déjà. De mémoire, il me semble l’avoir acheté la semaine de sa sortie. C’était l’année dernière. Diantre (comme disent les jeunes; du XVIIIe siècle). Et je suis incapable de dire pourquoi il m’a fallu autant de temps…